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Aujourd'hui 25 novembre 2020 avait lieu La journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.
Cette occasion me permet d'évoquer deux ouvrages lus ces derniers mois, que je trouve vraiment forts mais que je n'ai pas encore réussi à mettre en mots pour en parler plus longuement.
Il s'agit de Rouge Pute de Perrine Le Querrec aux éditions de la Contre Allée et Quarante cerfs-volants de Salpy Baghdassarian traduit par Souad Labbize aux éditions des Lisières.
Deux recueils poétique âpre et combatif qui suggèrent tout en finesse les brisures faites aux femmes dans des mondes dominés par les hommes. Ce sont en outre de très beaux objets.
Évidemment ce sujet mérite attention toute l'année mais il était approprié de s'y attarder plus longuement encore ce jour. Il y aurait bien d’autres ouvrages mais ces deux-là sont sortis cette année et ils méritent audience.
"J’ai deux lacs
ce sont mes yeux
des fleuves
ce sont mes veines
des branches
ce sont mes doigts
et des moineaux dans la gorge
Tu t’obstines à y voir le néant."
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