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Paul Beorn

Paul Beorn
Né en 1977, Paul Beorn est inspecteur dans une administration de contrôle. C'est un jeune papa de deux petits garçons et un « homme de l'ouest », vivant à Niort après avoir passé son enfance à La Rochelle et fait ses études à Bordeaux (hypokhâgne, Science Po). Passionné d'écriture, il est « Bêta-... Voir plus
Né en 1977, Paul Beorn est inspecteur dans une administration de contrôle. C'est un jeune papa de deux petits garçons et un « homme de l'ouest », vivant à Niort après avoir passé son enfance à La Rochelle et fait ses études à Bordeaux (hypokhâgne, Science Po). Passionné d'écriture, il est « Bêta-lecteur » au sein du collectif d'auteurs « CoCyclics » . Il est également l'auteur de nombreuses nouvelles publiées dans des revues ou des recueils collectifs, indifféremment sous des thèmes de « littérature générale » et de « littératures de l'imaginaire », la dernière d'entre elles paraîtra en mai aux éditions La Volte dans une anthologie de science-fiction. La perle et l'enfant, suivi ici du second et dernier Livre de La Pucelle de Diable-Vert, Le hussard amoureux, sont ses premiers ouvrages publiés.

Avis sur cet auteur (37)

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    Couverture du livre « 14 -14 » de Paul Beorn et Silène Edgar aux éditions Castelmore

    evergreen13 sur 14 -14 de Paul Beorn - Silène Edgar

    Adrien et Hadrien

    Ils ont treize ans, l’âge des premiers émois amoureux, des désaccords avec les parents, des tracas scolaires… Adrien est bon élève mais lorsqu’il apprend que sa copine Marion sort avec un autre garçon, il perd l’envie de travailler en classe et décroche complètement …...
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    Adrien et Hadrien

    Ils ont treize ans, l’âge des premiers émois amoureux, des désaccords avec les parents, des tracas scolaires… Adrien est bon élève mais lorsqu’il apprend que sa copine Marion sort avec un autre garçon, il perd l’envie de travailler en classe et décroche complètement … Hadrien aussi est bon élève et il prépare le certificat d’études pour espérer obtenir une bourse et aller au « petit lycée » l’année prochaine…
    Cent ans les séparent, Adrien vit à Laon en 2014 tandis qu’Hadrien habite à vingt kilomètres de là, un petit village, en 1914… Pourtant, une correspondance s’instaure entre les deux adolescents… Au départ, chacun pense avoir affaire à un cousin éloigné, puis peu à peu, ils comprennent qu’ils ne vivent pas dans le même monde… puis, incrédules, ils se rendent compte qu’ils ne vivent pas à la même époque…
    Ce roman estampillé littérature jeunesse peut vraiment être lu et apprécié par des adultes !
    Il raconte à travers le regard d’un jeune garçon la France d’avant la « Grande Guerre » dans une région très durement touchée par les combats de 1914 et de 1917 (ce sera le lieu des batailles du Chemin des Dames ») … Une France principalement rurale où les préoccupations quotidiennes tournaient autour des récoltes, des bêtes, où on pouvait mourir d’une pneumonie faute d’antibiotiques et où un garçon se devait de reprendre la ferme de ses parents, quitte à abandonner ses propres rêves… Une France où les différences sociales étaient bien marquées, où l’instituteur était une personnalité respectée et le médecin et le maire, des notables !
    En 2014 (ou en 2022) Adrien vit dans un quotidien confortable : comme beaucoup des jeunes d’aujourd’hui, il a un téléphone portable, un ordinateur, des baskets à la mode… mais ses parents sont divorcés et il ne voit jamais son père qui vit en Chine…
    Les lettres échangées par les deux (H)Adrien vont bouleverser leur vie, les aider à surmonter des moments difficiles et à passer de l’enfance à l’adolescence.
    C’est un très beau roman (que l’on peut qualifier de fantastique puisqu’il permet de voyager dans le temps) où les auteurs ont développé plusieurs sujets actuels (comme le harcèlement scolaire) et qui donnera certainement envie à certains jeunes lecteurs de s’intéresser à la période de la première Guerre Mondiale.

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    Couverture du livre « 14 -14 » de Paul Beorn et Silène Edgar aux éditions Castelmore

    Marie Kacher sur 14 -14 de Paul Beorn - Silène Edgar

    A l’époque, à la fois si proche et si lointaine, où les salons littéraires pouvaient encore avoir lieu sans la moindre restriction ni menace d’annulation au dernier moment, je pouvais passer des heures et des heures à éplucher la liste des auteurs présents, à décider lesquels je souhaitais à...
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    A l’époque, à la fois si proche et si lointaine, où les salons littéraires pouvaient encore avoir lieu sans la moindre restriction ni menace d’annulation au dernier moment, je pouvais passer des heures et des heures à éplucher la liste des auteurs présents, à décider lesquels je souhaitais à tout prix aller voir, auxquels j’allais acheter un livre sur place … Je m’y prenais à l’avance, car en grande timide que je suis, je tenais à avoir lu au moins un ouvrage de chaque auteur que je comptais rencontrer, pour m’aider à tenir une conversation un peu plus soutenue qu’un misérable « Bonjour je m’appelle Marie ». Commençaient alors de véritables marathons littéraires : selon les aléas des livraisons postales, je n’avais parfois qu’une semaine devant moi pour lire plus d’une dizaine de romans, parfois assez imposants (car la littérature de l’imaginaire aime les gros pavés) ! Nul besoin de préciser que je ne prenais alors pas le temps de rédiger une chronique pour chacune de mes lectures : tout au plus je me contentais de décider quelle note j’allais mettre sur Livraddict, puis je me promettais inlassablement qu’un jour, je prendrais la peine de relire posément chaque livre … Mais comme beaucoup de résolutions littéraires, celle-ci met parfois bien du temps avant d’être honorée : trois ans pour ce roman, lu pour la première fois en prévision des Imaginales 2018 !

    2014. Cette fois-ci, c’est la bonne : Adrien, treize ans, est enfin prêt à déclarer sa flamme à Marion, sa meilleure amie de toujours. Mais voilà que cette dernière lui pose un lapin, lui annonçant par texto qu’elle est en couple avec Frank, un élève de troisième que tout le monde respecte, admire et apprécie … tout son contraire, en somme. Le cœur lourd de chagrin et de colère, Adrien esquive l’interrogatoire maternel en prétextant devoir écrire une carte de vœux à son cousin Hadrien, qu’il n’a plus vu depuis de très nombreuses années … quelle corvée ! 1914. Hadrien a treize ans, deux petites sœurs, une amoureuse et une grande ambition : il espère bien obtenir une bourse pour partir étudier au petit lycée, à la ville, et devenir ingénieur. Mais son père ne voit pas d’un très bon œil son intérêt grandissant pour les études, et refuse catégoriquement de le voir quitter un jour la ferme … Lorsqu’il reçoit une lettre de son cousin Adrien, dont il n’a pas le moindre souvenir mais à qui tout semble réussir dans la vie, Hadrien est tout d’abord rempli d’agacement et de jalousie. Mais au fil de leurs échanges, les deux garçons vont doucement se rendre compte qu’ils ont bien plus de choses en communs qu’ils ne pouvaient l’un et l’autre imaginer … mais également qu’une différence de taille les sépare : un siècle !

    Dans ce roman à quatre mains pas tout à fait comme les autres, les deux auteurs relèvent un sacré défi : raconter une histoire d’amitié entre deux adolescents vivant à un siècle d’intervalle ! Sans que l’on ne sache vraiment comment ni pourquoi – même si un simulacre d’explication nous est apportée à la fin, c’est en réalité très loin d’être le plus important –, voici qu’Adrien et Hadrien, le premier vivant en 2014 et le second en 1914, entament une improbable correspondance épistolaire. Dans les premiers temps, nos deux adolescents révoltés par l’injustice de leur quotidien trouvent un exutoire parfait en s’efforçant d’impressionner l’autre en lui racontant des sornettes … Mais très rapidement, ils vont s’ouvrir mutuellement leurs cœurs et transformer ces incessantes vantardises en véritables confidences. Ils vont se raconter les petits et gros tracas de leur vie quotidienne : les conflits avec les parents, les rivalités scolaires, les peines de cœur … C’est à la fois assez amusant et assez intéressant de constater que, même si cent ans les séparent, Adrien et Hadrien ont en réalité des préoccupations fort similaires, bien que s’exprimant différemment : les études et l’avenir, la famille, les amitiés et les premiers émois amoureux … Que cela soit en 1914 ou en 2014, les doutes, les peurs et les peines de l’adolescence semblent être les mêmes.

    Et pourtant … même eux finissent par comprendre que quelque chose cloche : Hadrien ne comprend pas ce que lui veut son cousin lorsqu’il lui demande « son numéro » ou « son adresse e-mail », et Adrien se demande bien ce qu’est ce fameux « prix d’excellence » que son cousin aurait reçu sept années d’affilée et pourquoi diable la famille de Simone n’emmène-t-elle pas le petit Albert chez le médecin alors qu’il a une pneumonie … Les auteurs ont en effet eu l’intelligence de ne pas « enjoliver » la vie d’Hadrien au siècle dernier, de ne pas « dissimuler » les aspects les plus tragiques de cette époque. Nous qui sommes tellement habitués à nous rendre chez notre médecin traitant ou à la pharmacie en brandissant notre carte vitale pour être remboursés des frais médicaux, nous qui pouvons donc nous soigner quel que soit notre niveau social, nous qui considérons tout ceci comme parfaitement normal puisque c’est ce que nous avons toujours connu, voici que nous nous prenons de plein fouet le désespoir et la douleur de la famille d’Albert, petit garçon de six ans emporté par la maladie car sa mère, veuve, n’avait pas les moyens de faire venir le médecin. C’est un livre qui, sans jamais être moralisateur, remet malgré tous les choses à leur juste place : nous avons beaucoup de chance de vivre à notre époque, et pourtant nous nous plaignons plus que jamais …

    Et c’est sans parler de la guerre qui approche à grands pas … Alors que ni Hadrien ni aucun de ses contemporains ne se doutent de rien, dans quelques mois à peine, l’Allemagne va déclarer la guerre à la France, sonnant le début d’un conflit des plus meurtriers. Adrien, qui va finir par comprendre que son « cousin » et lui ne vivent pas à la même époque, a pour sa part pleinement conscience du danger qui menace celui qui est devenu son confident le plus intime, son ami le plus fidèle … Lui qui n’avait jusqu’à présent jamais accordé le moindre d’intérêt aux cours d’histoire (à quoi bon s’intéresser aux empires coloniaux européens à la veille de la guerre, ils sont tous morts de toute façon ?), se penche avec effroi sur cette effroyable période de l’Histoire : la première guerre mondiale. Il ne peut pas rester les bras croisés, sans rien faire, alors que le village d’Hadrien et sa famille va être totalement dévasté par les bombardements ! Il faut absolument qu’il convainque Hadrien de partir et d’emmener avec lui tous ceux qui lui sont chers, pour aller se réfugier à Paris, chez son grand-père, par exemple ! Sans en avoir l’air, poussé par cette envie viscérale de protéger son ami, Adrien va en apprendre énormément sur ce conflit … et le lecteur aussi ! Et tout comme Adrien, on tremble, on tremble pour Hadrien, on tremble pour tous ceux qui vont mourir, qui sont morts … Le passé et le présent se mélangent, pour nous aussi.

    En bref, vous l’aurez bien compris, j’ai énormément apprécié ce roman à quatre mains ! Je suis tombée sous le charme d’Adrien et Hadrien, deux adolescents touchants et attachants qu’on aimerait beaucoup prendre dans nos bras pour les consoler, les réconforter : si on a bien évidemment plus de pleine pour Hadrien, dont le quotidien est clairement plus difficile, on en a aussi pour Adrien, peut-être trop sensible et gentil pour notre époque où tout semble étonnement bien plus compliqué … Et que dire de l’histoire à proprement parler ? Elle est à la fois fort originale et plutôt classique, suffisamment « commune » pour ne pas demander trop d’explications (nous comprenons rapidement que c’est à cause de ces deux boites aux lettres surgies de nulle part que les deux adolescents correspondent d’une époque à l’autre sans le savoir) et suffisamment singulière pour être intrigante et passionnante. Les auteurs ont ainsi su trouver le juste équilibre : c’est jeunesse, bien sûr, et tout se « dénoue » peut-être trop rapidement et facilement, mais ce n’est jamais, ô grand jamais enfantin. Le style est soigné, élégant même, tout en restant parfaitement abordable. L'histoire, elle aussi, est à la fois sobre et riche, brève mais profonde, ni trop pédagogique ni trop « creuse » : juste ce qu’il faut pour faire rêver le jeune lecteur d’une grande et belle histoire d’amitié tout en lui inculquant mine de rien quelques connaissances historiques !

    http://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2021/11/14-14-paul-beorn-et-silene-edgar.html

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    Couverture du livre « Mélo-Méli chez Alexander Fleming : le découvreur de la pénicilline ! » de Paul Beorn et Marie Morelle et Lilie Bagage aux éditions Scrineo

    Ghislaine Degache sur Mélo-Méli chez Alexander Fleming : le découvreur de la pénicilline ! de Paul Beorn - Marie Morelle - Lilie Bagage

    Après avoir découvert cette héroïne de la science qu’était Marie Curie, je fais connaissance à présent avec Alexander Fleming, le découvreur de la peigne ici en ligne comme le définit Méli, ou plutôt comme la corrige Mélo, de la pénicilline, ceci grâce à la nouvelle série jeunesse des éditions...
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    Après avoir découvert cette héroïne de la science qu’était Marie Curie, je fais connaissance à présent avec Alexander Fleming, le découvreur de la peigne ici en ligne comme le définit Méli, ou plutôt comme la corrige Mélo, de la pénicilline, ceci grâce à la nouvelle série jeunesse des éditions Scrineo, permettant par ses différents récits de découvrir la science en s’amusant.
    Les jumeaux, prononcés les grumeaux par Méli toujours aussi maladroite avec les mots, se présentent en début d’album. Ils sont en train de réaliser leur première vidéo et c’est Mélo qui filme avec ses propres lunettes-caméras. Ils n’hésitent pas à baisser leur pantalon pour montrer leurs fesses à l’écran pour prouver ainsi que malgré leurs différences, comme on peut le voir, ils sont bien jumeaux. Chapeau à l’illustratrice Marie Morelle qui bonifie à merveille les textes de Paul Beorn et Lilie Bagage.
    N’oublions pas que nous sommes au 22ème siècle.
    Ils vont continuer leur vidéo dans le métro volant qui fait le tour de la terre, métro qu’ils ont pris avec leur mère pour se rendre à l’agence Stylé où elle travaille. C’est le professeur Létourdi qui leur fera la visite guidée pour leur chaîne Utube et ils ont dû promettre de ne pas faire de bêtises.
    Mais une fois sur place, le professeur, dépassé par cette journée portes ouvertes, qu’il avait oubliée, demande l’aide de Clarice, la maman, et les enfants devant rester seuls assurent qu’ils seront sages.
    C’est mal les connaître que les croire, car, à peine les adultes partis, ils en profitent pour filer, bien décidés de réaliser une vidéo génialissime avec leurs lunettes cameras.
    Croyant monter dans un ascenseur, ils se retrouvent dans la machine à remonter le temps. Ils ne savent pas la faire démarrer, mais à force de tentatives diverses, ils y parviennent et une voix automatique leur annonce le départ. Mais soudain, les sirènes hurlent, les murs commencent à trembler et la voix annonce l’explosion imminente de la machine. « Au secours ! » hurlent alors les deux Utubeurs et aussitôt un robot, leur Nounou (Neuro Ordinateur d’Urgence de Niveau Or Universel) déboule en [mode SOS] pour les aider. Après diverse manipulations, en touchant un peu toutes les manettes, les sirènes cessent de hurler et l’explosion n’a pas lieu mais un grand crac s’entend et un cri horrifié s’élève : « Qui a cassé mon laboratoire ? » La machine repose en fait sur un bureau en bois réduit en miettes et Mélo, apeuré, en se reculant heurte le robot. Celui-ci se met aussitôt en [mode DICO] leur annonçant qu’ils sont en 1928 dans le labo du professeur Alexander Fleming, découvreur de la pénicilline. Celui-ci se lamente car son bureau écrabouillé, il ne sait comment il va pouvoir remettre la main sur ses staphylocoques d’autant que son collègue Latouche se présente au même moment, venu voir les résultats de son expérience sur les champignons.
    Le [mode DICO] de Nounou permet au jeune lecteur, sur un mode divertissant de découvrir que, Alexander Fleming avec ses staphylocoques et Charles Latouche avec ses champignons, en laissant leurs préparations côte à côte ont découvert ce fameux médicament antibiotique qui tue les bactéries, la pénicilline.
    Quant au [mode RIGOLO] de Nounou, avec ses « poil au nez » ou autres expressions similaires, il provoquera sans aucun doute des rires amusés et le jeune lecteur ne manquera pas de s’esclaffer devant les dégâts occasionnés par cet aspirateur géant non maîtrisé, devenu incontrôlable !
    Mélo-Méli chez Alexander Fleming, comme Mélo-Méli chez Marie Curie se révèle un récit tout aussi éducatif que distrayant et il est facile de penser que les prochaines aventures de Mélo-Méli chez Jane Goodall et chez Archimède, prévues pour 2022 raviront les enfants, Mélo et Méli devant vite, à mon avis, devenir leurs héros préférés.
    Un grand merci à Babelio qui, en partenariat avec les éditions Scrineo m’a permis de faire connaissance avec cette nouvelle série jeunesse très originale.

    Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/

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    Couverture du livre « Mélo-Méli chez Alexander Fleming : le découvreur de la pénicilline ! » de Paul Beorn et Marie Morelle et Lilie Bagage aux éditions Scrineo

    emilie77400 sur Mélo-Méli chez Alexander Fleming : le découvreur de la pénicilline ! de Paul Beorn - Marie Morelle - Lilie Bagage

    Mélo-Méli sont des jumeaux qui vivent au XXIIe s. Leur mère travaille dans une agence de voyage Spatio Temporelle et lors d'une visite, nos intrépides frère et soeur vont se retrouver embarqués dans une étrange machine qui va les transporter en 1928, dans le laboratoire d'Alexander Fleming, le...
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    Mélo-Méli sont des jumeaux qui vivent au XXIIe s. Leur mère travaille dans une agence de voyage Spatio Temporelle et lors d'une visite, nos intrépides frère et soeur vont se retrouver embarqués dans une étrange machine qui va les transporter en 1928, dans le laboratoire d'Alexander Fleming, le découvreur de la pénicilline.
    Je suis vraiment une grande fan des éditions scrineo, j'en achète pour mon fils et j'en ai déjà fait acheter par le CDI de mon collège. Oui mais voilà, cette fois-ci je ne suis pas aussi convaincue qu'à l'ordinaire... L'histoire fait très "petit", c'est d'ailleurs conseillé pour des lecteurs à partir de 6 ans (même si 7-8 ans me semble plus approprié, rapport au vocabulaire), mais j'ai bien peur que le thème "le découvreur de la pénicilline" n'intéresse pas ce jeune public... D'ailleurs on n'apprend pas grand chose, on se centre plus sur l'aventure des 2 jumeaux. Aussi je pense qu'un livre peut-être plus approfondi sur le thème et donc pour un public un peu plus âgé aurait été plus intéressant.
    Mon fils qui habituellement aime ce genre de livre n'a pas voulu l'ouvrir...