Haru est une jeune femme qui aime être seule et vivre dans son monde virtuel. Un soir, blessée de sentir sa différence incomprise, elle va boire des verres et rencontre Ao que la patronne annonce comme Onê. Les Onê sont des hommes d’aspect féminin qui prennent soin des autres. C’est un terme présenté comme à ne pas utiliser mais comme je n’ai pas trouvé si c’était un équivalent pour une personne trans, une personne non binaire et/ou une personne androgyne je préfère ne pas me risquer dans une mauvaise interprétation de l’identité de genre de Ao qui se genre au masculin. L’alcool aidant, Haru et Ao, décident de se lancer dans une colocation et de se faire chacun leur tour un bento. C’est une colocation improbable qui commence et qui contre toute attente se déroule plutôt bien. Ce duo de personnes décalées est hyper attachant. L’histoire est d’une douceur et d’une tendresse folle. J’ai passé un excellent moment dans cette univers tout choudoudou qui met en avant tous les sentiments que l’on peut transmettre en cuisinant pour autrui. Et pour les amateurs de cuisine, il y a même des recettes dans le manga.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
