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Un livre vertigineux qui vous plonge dans les sentiments profonds d'une femme et vous embarque au coeur de la manipulation. Ce livre va vous suivre longtemps tellement la fin est incroyable... Je viens de l'acheter en poche! A lire un livre qui est passé inaperçu..
Dans le deuxième roman d’Emilie Guillaumin, « L’Embuscade », Clémence, mère de trois petits garçons et enceinte, attend le retour de son mari, l’adjudant Cédric Delmas, parti en mission il y a plusieurs semaines, dans un lieu tenu secret : elle sait juste qu’il est au Levant.
Un matin, une délégation militaire sonne à la porte : Cédric et cinq de ses camarades ont perdu la vie dans une embuscade. Assommée, Clémence n’arrive pas à annoncer à ses fils que leur père est décédé. Mais la jeune femme comprend bientôt qu’un mystère entoure le décès des six militaires des Forces Spéciales, et décide de faire pression sur « la grande muette » pour connaître la vérité.
Quel beau roman! On glisse avec subtilité et sans pathos dans la peau de la narratrice, femme de militaire pour qui le pire est arrivé. C’est un récit fort, juste, réaliste (Emilie Guillaumin a passé deux ans dans l’armée), mais aussi haletant – car qu’est-il vraiment arrivé à Cédric?
J’ai rarement (voire même jamais) lu de romans sur des interventions militaires, a fortiori vues par le prisme des conjointes des soldats, c’est donc un livre qui m’a emmenée dans un milieu dont je ne suis pas du tout familière, et « L’Embuscade » a été une excellente surprise, j’ai été accrochée par cette histoire de la première à la dernière page (très émouvante), portée par cette tension qui anime le récit, et par la galerie de personnages secondaires très réussis qui entourent Clémence,
Une lecture que je vous recommande chaudement!
Je sors déçue de la lecture de de ce roman .
D'emblée, la situation initiale m'avait pourtant interessée : une femme qui se met en congé de son poste de DRH pour se consacrer à l'écriture.....
Mais rapidement, je me suis sentie extérieure à sa solitude, aux diverses manifestations de son malaise intérieur, aux réactions de son entourage, au milieu bobo dans lequel elle évoluait .
Quant au dénouement, il m'est apparu comme plaqué.
Le récit de cette descente aux enfers ne m'a pas convaincue.
« Petites dents, grands crocs » d’Emilie Guillaumin est un roman qui m’a empêché de dormir.
L’histoire de Sarah, femme et mère comblée, en apparence, est glaçante. C’est une descente aux enfers que l’on ne comprend pas : est-ce que Sarah devient folle ? Est-ce son mari qui la manipule ?
La fin est inattendue et redoutable…
Après « L’embuscade », Émilie Guillaumin confirme son talent de conteuse et de maîtresse du suspense.
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