Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Le récit de ce voyage commence où nous avions laissé Dumas à la frontière russe en novembre 1858, à Kislar précisément. Dumas longe la Caspienne, puis des montagnes du Caucase se rend en Géorgie, jusqu'à la capitale, Tiflis. À l'époque, il s'agit de terres très méconnues, réputées dangereuses où rôdent brigands et rebelles.
Une longue introduction rappelle l'histoire du Caucase depuis ses origines mythologiques. Ensuite Dumas raconte les affrontements entre les soldats des autorités russes et les bandits tatars et tchétchènes. La comparaison avec les récents événements en Tchétchénie frappe aux yeux.
Ces quatre mois de voyage sont l'occasion pour Dumas de rencontrer les seigneurs locaux, des diplomates français, le baron Finot par exemple, consul de France à Tiflis.
En février il est temps pour Dumas de rentrer. Lhiver fut rigoureux, les conditions difficiles. Dumas achève son voyage sur les bords de la mer Noire. De là il s'embarque pour Constantinople avant de rentrer à Paris.
Cette relation de voyage, écrite sur place, confère un ton beaucoup plus vivant au récit en comparaison du Voyage en Russie. Elle se situe également au premier rang de ses écrits. D'ailleurs les expériences de ce voyage inspireront d'autres histoires à Dumas : Sultanetta et La Boule de neige.
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