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Dans le Traité déquitation (cinquième édition, 1893) le Comte d'Aure, soucieux de préserver le patrimoine de l'ancienne école contre les assauts de langlomanie et du bauchérisme, s'efforce de présenter l'enseignement classique sous une forme simplifiée. L'étude des aides, des figures, des assouplissements, tout comme l'intérêt qu'il porte au trot enlevé, sont le prétexte à des mises au point originales qui allient tradition et progrès.
En tête de cet ouvrage, un document essentiel : l'histoire de l'équitation, des maîtres italiens de la Renaissance jusqu'au Manège de Saumur en passant par l'École de Versailles. En définissant ce qui caractérise chaque école il nous permet de comprendre l'évolution des procédés des maîtres de l'École classique. Son commentaire des traités les plus significatifs est particulièrement riche de sens. De l'emploi du pilier, de la houssine chez Pluvinel, à l'utilisation du caveçon et des assouplissements chez Newcastle, il nous conduit à l'apport considérable de La Guérinière dans la simplification des procédés traditionnels. Un résumé particulièrement éclairant sur l'évolution de l'équitation française, de l'ancienne monarchie aux temps modernes.
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