Quand la rencontre avec la fiction correspond à la prise de conscience de la vie... Ron vit la présence d'Angine malgré son absence. La perception que l'on peut avoir des choses de l'existence nous est induite par ce que nous vivons, ce que nous apprenons, ce que l'on nous apprend. Ron est perplexe. Espère-t-il ? N'espère-t-il plus ? Il traverse les événements avec calme. Au fond de lui, il reste confiant. Cette perception des choses de la vie imprime la marque primale qui influence toute l'existence et la manière dont nous vivons les choses, les rencontres, les relations. Les circonstances ne peuvent-elles nous conduire à inverser notre ressenti pour mieux vivre nos émotions, nous libérer et, enfin, être vraiment nous-mêmes? Comment expliquer cela ?
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