L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Isabelle allongée sur la nuit enrubannait mes pieds, déroulait la bandelette du trouble. Les mains à plat sur le matelas, je faisais le même travail de charme qu'elle. Elle embrassait ce qu'elle avait caressé puis, de sa main légère, elle ébouriffait et époussetait avec le plumeau de la perversité. La pieuvre dans mes entrailles frémissait, Isabelle buvait au sein droit, au sein gauche. Je buvais avec elle, je m'allaitais de ténèbres quand sa bouche s'éloignait. Les doigts revenaient, encerclaient, soupesaient la tiédeur du sein, les doigts finissaient dans mon ventre en épaves hypocrites.» Dans Thérèse et Isabelle, longtemps censuré, Violette Leduc tente de «rendre le plus minutieusement possible les sensations éprouvées dans l'amour physique». Voici des pages âpres et précieuses, d'une liberté de ton qu'aucune femme écrivain n'avait osé prendre en France avant elle.
Thérèse et Isabelle deux jeunes filles d'un même collège où elles sont en pension y découvrent l'amour charnel , la passion. L'histoire d'amour entre ces deux jeunes femmes est écrite de manière assez poétique et on comprend que ce roman écrit dans les années 60 fut source de polémique et ait pu offusqué quelques personnes.
Roman érotique entre deux jeunes filles qui découvrent leur homosexualité dans un lycée.
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