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Saint-Jean est le premier tome de l'histoire de Jonathan Foucher, un garçon de onze ans et demi qui a poussé entre les quatre murs d'une ZUP de banlieue parisienne. Accoutumé depuis toujours au quartier, tout change lors de son entrée en sixième, quand sa mère, pour le protéger, fait le choix d'un collège privéÂ: Saint-Jean. Malgré ses efforts, Foucher se révèle très vite inadapté à ce déracinement. L'enfant a beau s'accrocher à ses passions pour donner un sens à sa vie, son insouciance se mue peu à peu en souffrance.
Quand la réalité des quartiers rattrappe celle des beaux quartiers...
Jonathan Foucher vit dans un immeuble qui compose la ZUP, cette zone résidentielle dans la banlieue de Paris où on ne peut se promener sans avoir peur. Et Jonathan lui a peur, du haut de ses 11 ans n'est pas rassuré même si il fait du judo. Mais il n'était pas prêt à ce que sa mère le mette dans un collège privé du nom de Saint-Jean. Une école privé oui, mais aussi catholique. Lui qui côtoyait toutes les nationalités dans son école primaire.
Au fil de ses années scolaires, un changement va s'opérer en lui et ce n'est pas que les hormones de l'adolescence.
Sa mère qui l'élève seule avec son petit frère fera tout se qu'elle peut pour l'aider mais comment faire quand on bosse tout le temps etquand l'amour fraternel n'est pas présent au sein du foyer...
Un récit qui aurai pu me bouleverser si l'auteur avait mis l'accent sur les ressentis du garçon tout au long du roman. À la place nous avons droit au quotidien de Jonathan pendant 3 ans au collège Saint-Jean. Son quotidien qui est fait de trajets interminables en transports en commun, d'heures de cours avec des profs qui ne sont pas appréciés de part leur manière ou bien leur physique mais surtout de beaucoup d'heure de perdues dans sa vie où il ne peut pas faire ce qu'il veut.
J'ai ,tout de même, aimé le voir évoluer au fil des année. Car il fera des nouvelles connaissances avec lesquelles il découvrira ses premiers émois sexuels mais aussi le rap, le regard des gens, la bagarre mais surtout la solitude.
Car oui Jonathan n'a pas une vie facile et sa maman ne l'y aide pas. L'auteur nous plonge au cœur d'une famille mono-parentale et nous montre les failles qu'il peut y avoir. Peu présente pour sa fratrie, la maman ne sais comment donner de l'amour à ses enfants et cela s'est ressenti tout au long du roman.
Ici nous avons des références de rap, de magasins mais aussi de football. Car notre jeune acolyte est un super fan du PSG, et pour rien au monde
il ne raterai les matchs à la radio. Car oui à cette époque, peu de gens avait le câble et ceux qui l'avait faisait partie de la classe supérieure.
L'auteur nous décrit avec ses mots et sa plume l'échec scolaire, le harcèlement scolaire. En gros les sujets tabous qu'il pouvait y avoir dans
les années 90 et qui sont, encore malheureusement, présents dans notre quotidien.
Malgré cela, je n'ai pas réussi à éprouver de l'attachement pour notre PP car je n'ai pas eu les émotions qu'il fallait.
En bref, un roman poignant mais qui ne l'a pas été avec moi.
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