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Pour sauver le rêve, recourir à l'émerveillement. Ainsi la verve créatrice des tableaux impose un monde poétisé, propre à enchanter l'esprit d'enfance. Voici deux histoires au parfum magique qui ont valeur de leçon entre les jeux de l'émotion et le plaisir des yeux. « Riquet à la houppe », un conte philosophique où le coeur fait don de l'intelligence, où l'amour fait fi de l'apparence. L'illustratrice utilise des symboles simples et lisibles comme la bougie pour l'intelligence ou la coiffe se reflétant en bonnet d'âne dans le miroir. LA DÉDICACE DE L'ILLUSTRATRICE : « J'ai choisi là deux histoires invitant au voyage dans la littérature magique, histoires romanesques et fabuleuses. Pour les illustrer, j'ai tenté de créer un monde poétisé pour toucher le coeur de l'enfant. J'ai utilisé des symboles simples et lisibles comme la bougie pour l'intelligence ou la coiffe se reflétant en bonnet d'âne dans le miroir. Le plaisir des yeux doit faire écho aux feux de l'imagination. Ainsi j'ai travaillé l'apparence de la fontaine à l'orée du bois magique en m'imprégnant des prodiges qui s'y accomplissent. De la même manière, je m'efforce de créer des architectures imaginaires en correspondance avec les mondes de ces personnages merveilleux. Sauf à jouer sur les contrastes dans le court conte « Les fées », il me faut magnifier chaque lieu pour célébrer le pouvoir d'enchantement du conteur. » Véronique Ducreux
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