"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce que j'affirme, c'est que ce témoignage qui vient après tant d'autres et qui décrit une abomination dont nous pourrions croire que pus rien ne nous demeure inconnu, est cependant différent, singulier, unique...
L'enfant qui nous raconte ici son histoire était un élu de Dieu. Il ne vivait, depuis l'éveil de sa conscience, que pour Dieu, nourri du Talmud, ambitieux d'être initié à la Kabbale, voué à l'Eternel. Avions-nous jamais pensé à cette conséquence d'une horreur moins visible, moins frappante que d'autres abominations, - la pire de toutes, pourtant, pour nous qui possédons la foi : la mort de Dieu dans cette âme d'enfant qui découvre d'un seul coup le mal absolu ?
Lu de retour d'un voyage à Cracovie avec visite des camps d'Auschwitz et Birkenau.
Sans commentaire, à recommander à tout un chacun!
L'auteur nous raconte l'enfer des camps de concentration. Elie Wiesel, était adolescent quand il a connu d'abord les ghettos puis différents camps de concentration. Sa famille n'a pas cru à ce qu'on pouvait raconter et n'a pas cherché à fuir avant de connaître le pire. Elie est très vite séparé de sa mère et de sa petite soeur. Il reste avec son père et pour tous les deux, c'est ce qui s'avère le plus important. Face à l'horreur et aux souffrances subies dans les camps, c'était le seul moyen de tenir. L'un et l'autre n'a pas hésité à partager sa ration de pain (pourtant infime) quand l'autre se sentait dépérir. Une belle preuve d'amour. Par contre, Elie qui était pourtant si croyant avant de partir, s'éloigne de son Dieu, n'y croit plus. Tant d'indifférence devant tant d'horreurs... Et même si on sait déjà, c'est un livre qu'on doit lire au moins une fois dans sa vie pour ne jamais oublier, pour ne jamais recommencer. C'est d'ailleurs aussi un livre qu'on ne peut oublier. La magnifique plume d'Elie Wiesel ne fait que relever ce récit.
L'auteur nous raconte l'enfer des camps de concentration. Elie Wiesel, était adolescent quand il a connu d'abord les ghettos puis différents camps de concentration. Sa famille n'a pas cru à ce qu'on pouvait raconter et n'a pas cherché à fuir avant de connaître le pire. Elie est très vite séparé de sa mère et de sa petite soeur. Il reste avec son père et pour tous les deux, c'est ce qui s'avère le plus important. Face à l'horreur et aux souffrances subies dans les camps, c'était le seul moyen de tenir. L'un et l'autre n'a pas hésité à partager sa ration de pain (pourtant infime) quand l'autre se sentait dépérir. Une belle preuve d'amour. Par contre, Elie qui était pourtant si croyant avant de partir, s'éloigne de son Dieu, n'y croit plus. Tant d'indifférence devant tant d'horreurs... Et même si on sait déjà, c'est un livre qu'on doit lire au moins une fois dans sa vie pour ne jamais oublier, pour ne jamais recommencer. C'est d'ailleurs aussi un livre qu'on ne peut oublier. La magnifique plume d'Elie Wiesel ne fait que relever ce récit.
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