L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ce troisième volume du Journal intime et littéraire de Christian Dedet fait suite à un premier tome, Sacrée Jeunesse (1958-1962), puis au tome 2, L'Abondance et le rêve (1962-1966). Nous étions trop heureux (1967-1970) commence par la recherche du grand amour avec Paule dans une sublime Sicile d'hiver. De mai 68 au départ du général De Gaulle, on suit les événements, les idées, les instantanés d'un jeune médecin et d'un auteur en devenir. Ce journal intime, tenu, au départ, selon les principes stendhaliens de sincérité et de naturel, de chasse au bonheur, s'est enrichi de la variété des strates sociales traversées par Christian Dedet, de sa vocation de médecin thermaliste (à Châtel-Guyon six mois de l'année), de ses amitiés littéraires (Delteil, Montherlant, Jouhandeau, Vialatte), de ses activités journalistiques (Combat, Arts, Le Figaro littéraire, Le Quotidien de Paris, Esprit), de ses passions de lecteur, mais aussi du spectacle du monde. En cela, ces pages montrent comment on se construit peu à peu. Comment, après des débuts prometteurs, un jeune écrivain doit mûrir en dominant ses incertitudes, hésitations, enthousiasme ou accablement. La mémoire d'un voyageur du temps où peut-être des lecteurs futurs retrouveront leurs émerveillements et leurs doutes.
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