L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Les deux nouvelles ici réunies, de 1943 et 1945, sont comme une pause délicate et sensible ménagée dans le grondement d'arrière-plan du carnage guerrier. Dans chacune, la rencontre d'un homme et d'une femme que rien ne devait rapprocher ; dans chacune, la gêne et la retenue de deux inconnus pétris de solitude. Mais aussi le hors-temps suranné et rassurant d'une ambiance provinciale, les sonorités du vent et de la pluie, les senteurs des bouquets et du thé, le friselis des flocons, tout cela que Paoustovski sait rendre avec la méticulosité du peintre, l'acuité du cinéaste et l'oreille du compositeur. Rien n'échappe à la subtile et tranquille finesse de ses perceptions.
Constantin Paoustovski est l'un des plus importants écrivains soviétiques de son temps ; ni apologue du système, ni dissident, il a su affirmer une voix aussi personnelle qu'originale, sans se plier au dogme du réalisme socialiste.
Édition bilingue.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique