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«D'où vient la joie que j'éprouve à l'idée de visiter fin septembre, au Grand Palais, la première exposition d'envergure consacrée en France à la grande portraitiste Élisabeth Louise Vigée Le Brun, contemporaine de la fin de l'Ancien régime?
Je suis de ceux qui souffrent de l'abolition actuelle de l'art de peindre le portrait. La face humaine est plus exposée au mépris et au vandalisme depuis qu'est interdite sa représentation par l'art du portrait. Les selfies et les virtual reality numériques ne seront jamais que des doublures.
Il faut nous retourner vers la tradition de l'art du portrait, si féconde en France depuis le XVIe siècle, pour nous consoler de ce que nous avons perdu en ostracisant ce double durable de la face humaine, que le portraitiste recrée à l'image et ressemblance de la face du Créateur. Dans cette lignée de peintres, l'oeuvre de Mme Vigée Le Brun, quoique la moins exposée et donc moins connue du grand public, s'impose avec un exceptionnel éclat.» Marc Fumaroli
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