"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lorsque l'on est écrivain, psychanalyste, journaliste, que l'on partage sa vie entre le Jura et Paris et que l'on aime la vie comme l'aime Elizabeth Herrgott, on se doit d'avoir ses hiérodules.
Le "hiérodule" est un esclave attaché au temple. Ici, le temple c'est Elizabeth Herrgott. Ses hiérodules sont deux femmes : il y a la Boison, femme forte totalement dévouée à sa maîtresse qu'elle vénère ; quant à la Monica, elle aime les hommes, mais plus encore sa maîtresse. Chacune des hiérodules veut avoir la primeur de la maîtresse et se surveillent l'une l'autre du coin de l'oeil. Dans ce livre de confidences roman d'une perverse, Elizabeth Herrgott ne dissimule rien de sa marginalité, de ses désirs, de sa façon de régir ses hiérodules dévoués à son service comme à son plaisir.
D'un ton allègre, Elizabeth Herrgott nous fait entrer dans son intimité et se divertit des réactions de ses hiérodules qu'elle manipule avec une grande perversité.
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