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C'est pas l'homme qui prend la mer...
Regardez une carte du monde : 70% de sa surface est bleue, comme la mer. Malgré cela, l'histoire des hommes telle qu'on nous la raconte se concentre sur les 30% restants, les terres émergées, comme si la mer n'avait joué qu'un rôle secondaire dans cette longue aventure. Certes, la mer est restée longtemps inaccessible et il a fallu des millénaires pour que l'homme ait l'idée et les moyens de construire des bateaux, pour qu'il comprenne comment les faire avancer, et qu'il sache s'orienter sur cette immensité dépourvue de repères. Ensuite, l'homme a rapidement compris l'importance de la mer dans sa vie sociale. Grâce à elle, il peut atteindre des contrées lointaines, s'y procurer des denrées rares, exporter ses productions, transmettre sa culture et se nourrir de celles des autres, transporter des soldats vers des pays ennemis, ou encore exercer sa puissance économique ou militaire, se nourrir, s'enrichir, voyager. Plus l'homme progressait dans la maîtrise de la mer, plus il avait envie d'aller encore plus loin, plus il améliorait ses navires, ses procédés de navigation, ses armes navales. Aujourd'hui encore, la compétition pour la maîtrise des espaces maritimes bat son plein entre les grandes puissances d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
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