"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'Exposition universelle et internationale de Bruxelles en 1958, l'Expo 58, ouvre ses portes en pleine guerre froide.
Dans leur pavillon, les Soviétiques exposent une réplique du Spoutnik, premier satellite artificiel lancé en 1957, leurs voisins américains organisent des square dance et des dégustations de sodas et d'ice cream. Le pavillon français, un des plus audacieux avec celui de la firme Philips dessiné par Le Corbusier, présente la Citroën DS 19. Décidée en 1951 dans la foulée du plan Marshall et la première après la guerre, cette exposition a trouvé son symbole dans l'Atomium et ses sphères scintillantes.
Elle ouvre l'ère de l'énergie atomique mais aussi celle du plastique. L'architecture prend des couleurs et s'émancipe de la pesanteur dans des structures tendues, des toitures en forme de voiles ou des portiques en aluminium. L'Expo 58 a reçu la visite de quarante-deux millions de personnes. Ce livre fait revivre ce rare moment d'optimisme qui scelle la fin des années d'après-guerre et le passage à la société de consommation.
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