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Ce livre fait revivre ce qui a été l'un des moments les plus forts de l'histoire de l'art moderne à Montparnasse. Ce fut également l'un des plus dramatiques. Les artistes de l'École de Paris dans la tourmente de l'occupation allemande.
Si l'on connaît les artistes majeurs de ce mouvement comme Chagall, Modigliani, Soutine, Orloff, Zadkine, de nombreux autres, talentueux, sont oubliés : Otto Freundlich, Louis Marcoussis, Henri Epstein, Max Jacob...
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, cet extraordinaire mouvement artistique est décimé. Juifs en majorité provenant des pays de l'est, pour échapper aux pogroms, l'histoire les rattrapera et ils seront envoyés dans les camps de la mort où ils finiront gazés, pour la plupart, à Auschwitz. Fort heureusement, les figures de proue survécurent et poursuivirent leurs oeuvres après la guerre dans des endroits dispersés.
Le titre, « les larmes de la Villa Seurat » fait référence au destin exceptionnel de Chana Orloff et à son histoire personnelle qui sert de trame de fond à ce livre. Après 1945, l'École de Paris ne retrouvera jamais son âme.
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