"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Depuis plus de cent vingt ans, chaque été ou presque, le Tour de France parcourt nos routes, traverse nos villages et relie nos villes. Qui n'a jamais entendu parler de ces « forçats de la route » pour reprendre une expression attribuée à tort au journaliste et écrivain Albert Londres ? Qui n'a jamais vibré aux exploits de ces champions du bitume ? En plaine ou en montagne, la course dicte sa loi et s'accompagne souvent de son lot de drames !
Épopée moderne avec sa dramaturgie propre, ce récit s'apparente aussi à un spectacle sans droit d'entrée qui mobilise des foules considérables sur son parcours. La plus grande épreuve cycliste au monde, véritable saga populaire, a été aussi pour de nombreuses générations de Français une manière de découvrir leur pays avec ses paysages variés, ses monuments historiques et ses traditions populaires : une forme d'initiation à une culture nationale.
Didier Fischer, agrégé et docteur en histoire, co-fondateur du Groupe d'études et de recherches sur les mouvements étudiants, travaille sur l'histoire politique et culturelle du XXe siècle. Il a appris la géographie de son pays en suivant le Tour de France à la télévision et la littérature en lisant les chroniques d'Antoine Blondin dans L'Équipe.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !