L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
«Péter Esterhazy dédie son livre au fameux romancier tchèque Bohumil Hrabal, auquel il emprunte non seulement de longs passages, mais aussi l'idée de se décrire lui-même vu par les yeux de sa femme. C'est là l'un des ressorts comiques de cette oeuvre dont le côté ludique ne fait que prolonger une veine esterhazienne devenue célèbre. Le thème central, qui sert de fil conducteur, c'est le dilemme auquel se trouve confrontée l'héroïne Anna : se fera-t-elle ou non avorter ? Dieu le Père, sorte d'adjudant borné au vocabulaire peu châtié, envoie deux de ses anges sur terre pour empêcher l'oeuvre impie. Réussira-t-il ? Sujet mince à première vue. Mais Péter Esterhazy touche là à un thème plus universel et plus profond, celui du créateur impuissant face à sa création. Dieu le Père baisse les bras devant l'homme, et lorsqu'il s'essaie à jouer du saxophone, il ne parvient à en tirer qu'un horrible couac.» Agnès Kahane.
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