"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le Fléau de Dieu est un roman sur la jeunesse d'Attila. Otage de l'empereur romain Flavius Honorius, ce Barbare, ce garçon à l'état de nature, sauvage et indomptable, observe l'empire corrompu et forge son caractère en opposition à cette société mourante. Le récit adopte le point de vue de deux personnages : d'un côté Attila, qui regarde la civilisation décadente de l'Empire ; de l'autre l'historien byzantin Priscus Panita, qui observe ce même pourrissement. Tout le roman est tissé de métaphores : la terre hurle « comme une femme qui sent déjà son ventre enflé prêt à projeter dans le monde des êtres nouveaux », Attila a des cheveux « comme des cornes » qui balaieront l'ancien monde. Ce récit constitue un véritable manifeste du mouvement scythe qui considère la révolution russe de 1917 comme un élan messianique, comme une union spirituelle néo-chrétienne, socialiste et révolutionnaire opposée à la pensée bourgeoise et au nouveau pouvoir soviétique.
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