Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Comme les Souvenirs imaginaires, L'âge d'or s'enlève sur fond d'autobiographie, mais une autobiographie parcellaire, fragmentée, diffractée par la seule force du désir, réduite à une suite de corps et de visages, de sensations et de parfums, exaltée par la légèreté, la transparence des rencontres avec les garçons. «C'est, justifie Herbart, que je puis être follement captivé par un visage, par la façon dont un corps se meut»... Et de l'expérience de cette fascination sort le récit le plus pur, le plus clair qui soit. Le plus extrême aussi dans l'exploration d'un «indicible sentiment de paradis perdu».
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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