L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
S'il est un nom qui, dans l'Angleterre du XIXe siècle, a suscité le scandale, c'est bien celui de Shelley. Et en particulier avec son dernier livre écrit avant l'exil, dont les intitulés ont changé plusieurs fois dès les éditions de 1817 : d'abord Laon et Cythna ou La Révolution dans la Cité d'Or, avant de prendre le titre définitif de La Révolte de l'Islam. Il s'agit d'un poème-hymne, d'un poème-pamphlet qui clame son désir de liberté pour les femmes.
Comme le précise Judith Brouste dans sa préface, «La Révolte de l'Islam est dédicacée à Mary, qui vient elle-même de terminer son Frankenstein. La composition des douze chants de plus de 4 500 vers a duré six mois. Écriture difficile où l'ardeur et l'inspiration sont suivies de longs abattements...»
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