"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ayline Olukman élabore des natures mortes qu'elle mêle à ses peintures pour créer des paysages intimes et abstraits.
Ces représentations ont éveillé en elle le désir de se confronter à la véritable échelle de paysages désertiques, ou au détail d'un corps. Le regard est sollicité dans un échange continu entre l'extérieur et l'intérieur, le reflet du miroir est une main tendue vers le spectateur ; un jeu de mise en abîme où la notion d'échelle et de réalité se perdent dans une série organique et sensuelle.
Le monde est la matière et la vie le mouvement des formes. « La mue » se concentre sur le processus de création en soi, la recherche d'un sens d'appartenance au monde et au corps dans sa métamorphose. La limite de la peau est une géographie intime et pourtant universelle qui est le fil rouge de l'ouvrage.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !