Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Ayline Olukman élabore des natures mortes qu'elle mêle à ses peintures pour créer des paysages intimes et abstraits.
Ces représentations ont éveillé en elle le désir de se confronter à la véritable échelle de paysages désertiques, ou au détail d'un corps. Le regard est sollicité dans un échange continu entre l'extérieur et l'intérieur, le reflet du miroir est une main tendue vers le spectateur ; un jeu de mise en abîme où la notion d'échelle et de réalité se perdent dans une série organique et sensuelle.
Le monde est la matière et la vie le mouvement des formes. « La mue » se concentre sur le processus de création en soi, la recherche d'un sens d'appartenance au monde et au corps dans sa métamorphose. La limite de la peau est une géographie intime et pourtant universelle qui est le fil rouge de l'ouvrage.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force