"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Loin des tourments de la Seconde Guerre mondiale, Stavros Zerguine mène, après des études aux Beaux-Arts, une carrière de peintre à Montmartre. Esthète en quête de vérité, il est influencé par les oeuvres de Gérard de Nerval, dans lesquelles il reconnaît ses propres tourments métaphysiques, son désespoir et ses tentations suicidaires. En utilisant exclusivement la couleur noire pour ses toiles, il tente avec obstination, malgré de nombreux échecs, de créer ex nihilo. Son ami, Angelo Rapacci, peintre amoureux de la vie, de la couleur et des femmes, l'emmène à Venise, dont il est originaire. Stavros y découvre les sources d'un grand humanisme, mêlé de foi chrétienne. Il y rencontre Celia, une jeune femme qui le fascine par sa beauté et son intelligence. Avec ce roman, André Giovanni nous transporte au coeur d'une recherche picturale pleine d'espoir et nous entraîne dans un voyage initiatique sur les chemins de la beauté.
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