A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Comme je me sens fatiguée, usée et disgracieuse. Jamais je ne me suis trouvée aussi pitoyable. Je ne suis pourtant pas une vieillarde : pas même quinquagénaire ! Je sais que je ne devrais pas me mettre dans un état pareil. J'essaie de me raisonner, mais c'est plus fort que moi. J'avais pourtant fière allure, avec ma façade arrondie et mon parterre de roses grenat, sur lesquelles tous les passants se retournaient. J'étais toujours impeccable et pimpante. Maintenant, j'ai l'impression que ma vie est derrière moi, que je suis au bout du rouleau de mes ressources physiques et psychiques. Que vais-je devenir ? Tous ceux qui m'ont chérie sont partis. Quel triste sort ! J'ai si peur de l'avenir. Qui va vouloir de moi ? Au centre du récit : la maison des grands-parents paternels. Chargée d'objets, d'histoires, de souvenirs, elle est un personnage à part entière et n'hésite pas à prendre la parole. Entre elle et l'autre narratrice, unique petite-fille et dernier maillon vivant de cette branche familiale, s'amorcent un dialogue, un pas de deux et une transformation réciproque. Le récit, qui met aussi en scène une galerie d'humains et quelques chats, s'approche par instants de la frontière entre le monde des vivants et celui des disparus.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...