"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Mario Soldati. Écrivain, journaliste et cinéaste italien, Mario Soldati (1906-1999) est l'auteur d'une oeuvre bivalente, littéraire et cinématographique. S'imposant comme l'un des cinéastes les plus originaux de son temps avec des films tels que "Malombra" (d'après Antonio Fogazzaro), "Eugénie Grandet" (d'après Honoré de Balzac) ou encore "La Marchande d'amour" ("La provinciale", 1952, d'après Alberto Moravia, le meilleur rôle de Gina Lollobrigida), il s'est ensuite consacré à la littérature, publiant une série de livres où s'épanouit le talent d'un conteur captivant et d'un psychologue subtil, volontiers narquois, attiré par l'analyse de cas de conscience insolites: "Le Festin du commandeur", "Les Lettres de Capri", "Le Vrai Silvestre", "La Messe des vacanciers", "Les Deux Villes",... Dans les années 1960, des causeries charmantes à la télévision le révèleront également comme l'un des maîtres de la gastronomie italienne. "La balle de tennis", une très curieuse histoire de fantômes, est tiré d'un recueil de vingt nouvelles étranges publié en Italie en 1962.
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