L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mourir sans pour autant disparaître, assister à son enterrement, voir pleurer ses proches, entendre un éloge funèbre qui rende enfin justice à son génie, jouir de son vivant du spectacle de sa gloire posthume, tel est le rêve fou d'un jeune auteur en mal de célébrité. Forçant la réalité à entrer dans sa folie par le moyen d'incroyables, de rocambolesques et périlleuses manoeuvres qui le conduisent de France en Turquie, de Paris à une île perdue d'Irlande où l'attendent les redoutables fantômes de son passé, le narrateur va incarner le désir profond qui nous habite d'être le spectateur de notre propre mort. Réflexion sur la mort, l'ambition, le désir et la vanité de tout, porté par les ailes acides de l'humour noir, je suis mort, qui dit mieux ? est un polar métaphysique.
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Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
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