Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
La mère du narrateur était folle, d'ailleurs elle tenait un bar qui n'existait que dans sa tête.
Le narrateur y allait aussi, il était même un habitué.
Alors, qu'il laisse à un dessin griffonné à la va-vite la liberté de prendre la parole et de lui rire au nez ne sera pas pour nous surprendre. Ni qu'il prétende s'appeler tmou, tmou qui est si mauvais écrivain qu'il ne mérite pas même une majuscule, puis Fin, Fin qui est assis le dos contre le mur et qui s'appelle Fin. Les deux facettes d'un même personnage ? Ce serait trop simple.
Ils sont deux en un, au moins, ou alors pas du tout. Et à la fin tout disparaît, et il ne reste que l'auteur, Basara lui-même. Et encore, c'est vite dit.
Délire schizophrène s'il en est, Histoires en disparition est une farce sur la disparition du sujet, la démultiplication du je jusqu'à sa dissolution. Auto-destructif et auto-hilarant.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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