L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans ce nouvel épisode de l'autobiographie d'une pas grand-chose, Annie François continue de se raconter par le biais d'éléments qu'elle connaît bien : hier les livres, avec Bouquinier ; aujourd'hui la cigarette, avec Clopin-clopant.
Deux habitudes, l'une réputée noble pour l'esprit, l'autre dangereuse pour le corps, deux sortes de toxicomanies auxquelles elle s'adonne, conjointement, avec délectation. Du berceau aux dispositions testamentaires, des événements graves aux plus futiles, de l'ère pépère du clope au bec aux années antitabac qui transforment le fumeur en quasi-délinquant et en pestiféré, tout est observé ici à travers le filtre des cigarettes.
Si Bouquinier fut considéré comme une sorte d'hymne à la lecture, Clopin-clopant n'invite pas au prosélytisme. Mais encore moins à la mélancolie. Le danger de ce livre est ailleurs : son autodérision, son style, son goût des mots risquent de faire des adeptes.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique