Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Ni autobiographie d'acteur ni roman, C'est beau une ville la nuit est «une balade, l'oeil et l'esprit grands ouverts au vif de la ville et au droit à la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérances». Un blues en prose, ponctué de chansons, écrit par l'homme Bohringer à ses amis vivants ou morts, aux femmes qu'il a aimées, à la vie, à la page blanche. L'enfance maudite, l'alcool, les coups de chagrin, l'héroïne, il aura tout connu, pour s'octroyer quand même, au terme de son errance, le droit à l'amour, au bonheur, à l'écriture. «Vie je te veux. Je t'ai toujours voulue. J'avais pas le mode d'emploi.»
Bonjour,je ne sais que dire sur ce livre.
Je reconnais que la poésie n'est pas mon genre préféré même si Victor Hugo ou Prévert on réussi à me faire changer d'avis.
J'ai essayé de lire ce livre,en ayant entendu beaucoup de bien.
Mais là franchement je n'ai même pas réussi à aller jusqu'au bout,même en ne lisant qu'un peu à chaque fois, je me suis ennuyé.
Magnifique voyage
pour Richard Bohringer
On l'aime ou on le déteste ! Des phrases courtes ponctuées de vulgarité et grossièreté, des phrases jetées en vrac sans aucune linéarité. Aucun style d'écriture. C'est ce qui fait son charme, ou sa déception !
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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