"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Iconoclaste, bidonnant, foisonnant, épastrouillant... Voilà l'objet littéraire non identifié que vous tenez entre les mains. Pour l'équipe Pocket, ce fut le coup de foudre au premier elfe : ces nouvelles, c'est tout un poème... D'ailleurs, on en ferait presque des vers :
Des marins maltais aux vieux saules de Tolkien, Des parkings aériens aux appâts des sirènes, Chez Julien Campredon, cher lecteur, tout est bon.
Et si vous trouvez mieux, n'hésitez pas à nous écrire. Votre prose ornera peut-être cette couverture...
L'équipe Pocket PS : L'auteur, s'il parvient à tromper la vigilance de ses gardiens, n'est pas habilité à jouer à ce petit jeu. Merci.
Nouvelle édition revue et corrigée. Pour le service après-vente, merci de vous reporter à la page 139.
J'avais ce titre dans ma wishlist depuis un petit moment déjà, et quand l'occasion de le lire s'est présentée j'ai évidemment sauté dessus. J'avais lu pas mal de bonnes critiques à son sujet et j'étais curieuse de pouvoir enfin découvrir ce qui se cache derrière ce titre énigmatique.
J'ai malheureusement été déçue.
« Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfes » est un recueil de nouvelles, 9 en tout ( plus une note d'éditeur en début d'ouvrage qui compte pour une dixième ), qui fait la part belle à l'imagination débridée et déjantée de son auteur. le style et le ton varient d'un texte à l'autre – il y a même un récit avec accent du Sud intégré – et des thèmes variés sont abordés, tous sous un angle différent et très personnel: le gaspillage de l'argent public, l'attachement aux racines familiales, la tentation amoureuse/sexuelle, les défaillances de Pôle emploi et le difficile accès au travail pour les jeunes, l'adultère, la course à la célébrité…
J'ai moi-même le sens de l'humour et j'aime bien délirer quand l'envie me prend, je suis même la reine du second degré et j'aime l'absurde, mais je dois avouer que malgré ça je n'ai absolument pas réussi à me sentir proche de l'univers de Julien Campredon et je suis restée en marge de son écriture. J'ai souvent eu l'impression qu'il était allé trop loin et qu'il m'avait perdue quelque part en chemin. Seules quelques nouvelles m'ont parlé, dont « La branleuse espagnole » et « Tornar a l'ostal ou les mémoires d'un revenant », et je suis bien malgré moi restée complètement hermétique à d'autres, notamment celle qui a donné son titre au livre ( j'en cherche encore le pourquoi du comment… ).
J'ai bien compris le sens de l'ensemble, la volonté affirmée de pointer du doigt tout ce qui déraille dans notre monde, mais je n'ai pas été sensible à la forme. Je n'étais sans doute pas le bon public…
Un livre décapant. julien Campredon ne mâche pas ses mots. Au travers de nouvelles parfois humoristiques, parfois assez noires, il dénonce des habitudes et des maux de notre société.
Une rencontre à la librairie avec l'auteur m'a conforté dans cet avis.
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