L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Parvenu au milieu de sa vie, Landolfi décide d'être lui-même le sujet de son prochain livre.
« Je dirai que je me suis toujours tourné et retourné dans la vie comme un malade inquiet dans son lit. » L'enregistrement des petits faits quotidiens de la vie de province n'est que le point de départ de subtiles digressions : en procédant ainsi à sa propre « analyse » Landolfi porte une interrogation angoissée sur la valeur de la création et le sens même de la réalité pour aboutir à un constat d'impuissance : l'écriture, qui fut jadis pour lui « la seule réalité », va rejoindre dans un néant commun l'amour et le jeu. Paradoxalement ce bilan de mort crée un individu bien vivant.
Celui qui s'est acharné à se dénigrer lui-même nous paraît inexplicablement attachant et humain. Sans doute parce que la succession d'actes manqués, les idylles ratées, le jeu suicidaire, les impasses de l'art réveillent en nous, ses contemporains, plus d'échos que leur contraire.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique