Des auteurs inconnus qui nous font parvenir leurs envois, Franval est certainement celui qui se réfère avec le plus de candeur (au point de le pasticher avec une certaine ironie de bon ton) au divin Marquis. Toutefois, il s?agit, sous sa plume, de badinages un peu coquins, et même si l?on y rencontre des maîtres sévères, ces derniers paraissent bien inoffensifs quand on les compare à ceux dont nous entretient son auteur favori, qui est vendu, comme d?autres classiques, dans toutes les librairies.
[?] Voilà donc la préface que j?écrivais en 1990, pour le second roman de Franval. Vous n?avez certainement. pas raté le premier, Le Vice (Bibliothèque Erotique n°155) que nous avons réédité il y a peu. Vous vous êtes donc jeté sur celui-ci en toute connaissance de cause. Et vous n?avez pas été déçu, vu que vous y avez retrouvé tous les ingrédients « sadiens » qui avaient fait vos délices.
Esparbec
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