Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
2020 fut l'année COVID. 2020 fut l'année du confinement.
Le virus est là. Le virus déclenche la peur, la peur qui n'est pas la plus agréable des sensations.
2020, année de la peur ?
La peur justifie l'acceptation de limiter ses allées et venues avec la fameuse autorisation de déplacement, la peur justifie l'acceptation de se masquer, la peur justifie l'acceptation de couper les liens physiques avec les autres, même avec ses proches, la peur justifie les contrôles inopportuns des forces de l'ordre. Avec la peur et le devoir citoyen de ne pas contaminer les autres, la méfiance s'installe aussi. L'autre est fui, distancé, l'autre est suspect.
Lotfi MOKDAD restreint aussi ses déplacements et ses habitudes, il photographie autrement. De son appartement, l'oeil du photographe, souvent amusé, saisit les comportements inhabituels dans la rue de ces humains en proie à la peur instaurée par l'autorité publique.
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Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
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