Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Pour les cinquante ans d’Astérix, quel plus beau cadeau de l’auteur de lui dédié un album pour donner à son héros et à son autre défunt créateur un hommage. L’intention devait être bonne au départ…
L’album est le plus mauvais de la série que j’ai lu. Il n’a aucun intérêt. L’esprit de l’univers d’Astérix n’existe plus, c’est terminé. La perte de Goscinny se fait ici sentir comme jamais. Les quelques albums qui ont suivi son décès étaient pourtant bons. Certainement que Goscinny avait laissé quelques bonnes bases de départ, et pourquoi des histoires toutes prêtes. Mais là, on touche le fond. Avec La Traviata, je pensais qu’il avait été atteint, mais là, on creuse la tombe d’Astérix. C’est très très décevant. Astérix est en train de se mourir à cause de la bêtise commerciale. L’humour est mauvais, utilisant de mauvaises blagues loin de l’Astérix de Goscinny.
Un album à vite oublier, à planquer ou à essayer de refourguer sous la veste dans une ruelle sombre, et vu la qualité, il faudra même rajouter un petit billet avec pour qu’on vous en débarrasse.
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