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Morris

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Morris, de son vrai nom Maurice de Bevere, est un dessinateur et scénariste de bande dessinée belge né le 1er décembre 1923 à Courtrai et mort le 16 juillet 2001 à Bruxelles.

Dès l’âge de 20 ans, il travaille dans le dessin animé et l’illustration, et rencontre notamment Peyo, Franquin, Will et ...

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Morris, de son vrai nom Maurice de Bevere, est un dessinateur et scénariste de bande dessinée belge né le 1er décembre 1923 à Courtrai et mort le 16 juillet 2001 à Bruxelles.

Dès l’âge de 20 ans, il travaille dans le dessin animé et l’illustration, et rencontre notamment Peyo, Franquin, Will et Jijé.

Il crée le personnage de Lucky Luke en 1946 pour l’Almanach Spirou des éditions Dupuis mais, souhaitant se consacrer uniquement au dessin, il confie le scénario des albums de Lucky Luke à René Goscinny à partir de 1955. Leur collaboration durera jusqu’à la mort de Goscinny en 1977.

Par la suite, il travaillera avec de nombreux scénaristes, parmi lesquels Bob de Groot.

Articles en lien avec Morris (2)

Avis sur cet auteur (21)

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    Couverture du livre « Lucky Luke Tome 21 : Daisy town » de Rene Goscinny et Morris aux éditions Lucky Comics

    Pascal TOURRES sur Lucky Luke Tome 21 : Daisy town de Rene Goscinny - Morris

    Une relecture (d'une parution de 1983 ... 40 ans donc) ... c'est la période ...avec une histoire assez classique ... mais surtout un Lucky Luke qui fume (cf la couverture) et même une Jolly Jumper qui lèche le papier de la cigarette à rouler de Lucky Luke (dernière case p 23).
    Espérons que les...
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    Une relecture (d'une parution de 1983 ... 40 ans donc) ... c'est la période ...avec une histoire assez classique ... mais surtout un Lucky Luke qui fume (cf la couverture) et même une Jolly Jumper qui lèche le papier de la cigarette à rouler de Lucky Luke (dernière case p 23).
    Espérons que les tendances à la bienpensance et aux réécritures de tout poil ne vont pas revisiter ces anciens épisodes ; d'autant qu'au fil du temps, Lucky Luke a déjà cédé ses cigarettes pour des fleurs.

    Saluons aussi cet empécheur de tourner en rond comme d'habitude en inversant le sens de rotations des convois de caravnes, indiens et cavalerie pour un ballet original.

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    Couverture du livre « Lucky Luke Tome 27 : l'alibi » de Claude Guylouis et Morris aux éditions Lucky Comics

    philstz sur Lucky Luke Tome 27 : l'alibi de Claude Guylouis - Morris

    scenario, dialogue, dessin : le pire des Lucky Luke

    scenario, dialogue, dessin : le pire des Lucky Luke

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    Couverture du livre « Lucky Luke Tome 15 : l'évasion des Dalton » de Rene Goscinny et Morris aux éditions Dupuis

    Bernard Viallet sur Lucky Luke Tome 15 : l'évasion des Dalton de Rene Goscinny - Morris

    Enfermés au bagne de Watta Gulch, les quatre Dalton, condamnés rien moins qu’à 367 années de prison compte tenu d’une remise de peine pour bonne conduite, n’ont qu’une seule et unique obsession : se venger de l’homme qui les a conduits là, c’est-à-dire Luke Luke. Les quatre desperados de...
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    Enfermés au bagne de Watta Gulch, les quatre Dalton, condamnés rien moins qu’à 367 années de prison compte tenu d’une remise de peine pour bonne conduite, n’ont qu’une seule et unique obsession : se venger de l’homme qui les a conduits là, c’est-à-dire Luke Luke. Les quatre desperados de l’Ouest, encore plus bêtes qu’ils ne sont méchants vont tout faire pour faire tourner en bourrique le héros de la série. Ils iront jusqu’à faire imprimer de fausses affiches où Lucky Luke est présenté comme « voleur, incendiaire, meurtrier, faussaire et cannibale » !
    Oeuvre de jeunesse de Morris et Goscinny et quinzième titre de la série, l'épisode « L’évasion des Dalton » permet au duo composé de l’humoriste génial et du dessinateur remarquable de bien rôder leur association. Le scénario de Goscinny est aussi un prétexte permettant au dessinateur de multiplier les effets graphiques. Ainsi Morris dynamise avec audace ses cadrages et ses compositions très cinématographiques. Avec deux peu de moyens mais beaucoup d'inventivité, il signe des planches truffées d’action et de trouvailles narratives pour notre plus grand plaisir. Edité pour la première fois en janvier 1960, cette histoire qui n'a pas pris la moindre ride se déguste avec autant gourmandise aujourd’hui qu’hier. C’est à cela qu’on reconnaît un chef-d’œuvre me semble-t-il.

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    Couverture du livre « Lucky Luke Tome 10 : le cavalier blanc » de Rene Goscinny et Morris aux éditions Lucky Comics

    Claude Stas sur Lucky Luke Tome 10 : le cavalier blanc de Rene Goscinny - Morris

    Au fin fond du Far-West, les distractions sont rares. Entre le saloon, les danseuses de french-cancan, le rodéo et la messe dominicale, les cow-boys n’avaient guère l’occasion de se détendre… disons, intelligemment. Très vite, des troupes de théâtre itinérantes ont parcouru les pistes pour...
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    Au fin fond du Far-West, les distractions sont rares. Entre le saloon, les danseuses de french-cancan, le rodéo et la messe dominicale, les cow-boys n’avaient guère l’occasion de se détendre… disons, intelligemment. Très vite, des troupes de théâtre itinérantes ont parcouru les pistes pour initier les colons aux joies des grands textes du répertoire. A partir de ce fait, René Goscinny a élaboré une histoire dans laquelle Lucky Luke comprend qu’il existe une relation de cause à effets entre la présence d’une troupe de théâtre et des cambriolages. Il la suit de ville en ville, à un tel point, qu’il se retrouve lui-même sur scène à incarner le cavalier blanc, défenseur de la veuve et de l’orphelin.
    Toujours aussi drôle quand il s’agit de se moquer des clichés culturels, Goscinny, toujours aussi bien servi par le dessin de Morris, réussit même une mise en abyme particulièrement pertinente. Lucky Luke, le cow-boy redresseur de torts, devient un personnage d’opérette, au costume immaculé, déclamant des fadaises pour séduire les foules. Alors que le vrai aventurier ne dit pas grand-chose, il est plutôt dans l’action. Si bien que dans une ville de charbonnages, il fait tache, au propre comme au figuré.