"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'Australie... Pour Meggan Collins, fille de mineurs dans l'Angleterre de la fin du XIXe siècle, ce pays représente l'espoir d'un avenir meilleur. Et aussi la possibilité de faire le deuil de sa soeur, qu'un amour impossible a brisée. C'est justement ce drame qui pousse sa famille à travers les océans et à s'installer à Burra, où se trouve une gigantesque exploitation minière. Tandis que les Collins travaillent tous à la mine, Meggan est engagée pour s'occuper des enfants de riches agriculteurs. Accueillie à bras ouverts, elle va enfin réaliser son rêve : chanter. Car Meggan possède une voix enchanteresse, un don qui pourrait bien changer son destin...
Un petit roman feel-good parfait pour un mois d'aout sur la plage.
Alors qu'il vient de perdre son grand-père tant aimé, un jeune homme, un peu naïf, trop gentil, apprend par son notaire que celui-ci a tout légué à ses soeurs et que lui n'hérite que d'un misérable carnet vide...
Ce carnet est magique et va lui faire retrouver le sourire et peut-être l'amour.
C'est joliment écrit et on termine vite ce récit en souriant.
Dans les premières pages, le jeune homme, héros de notre livre ne porte pas de prénom, nous ne le saurons jamais ...
Cependant, sa vie est un vrai yoyo !!!
Décès de son papi !
Puis déception immense lors de la lecture du testament !
Et puis la découverte du pouvoir du carnet magique ...
De ce fait, nous aussi nous vivons un véritable ascenseur émotionnel grâce à ses souvenirs, l'amour qu'il tisse avec Clarisse et son amitié avec Mick.
On touche du doigt, dans ce livre, les émotions du passé et celles de l'avenir.
Comment l'un et l'autre sont liés et doivent rester à l'état d'équilibre sans quoi, se retourner trop souvent sur son passé peut empêcher les merveilles de l'avenir ...
Je vous souhaite autant de plaisir à le lire que j'en ai eu
Quel choc pour un jeune homme de trente ans lors de l'ouverture du testament de son grand-père : le vieil homme à réparti tous ses biens à ses soeurs. A l'une la maison de famille en Italie, à l'autre l'appartement parisien. A lui, son petit-fils chéri, l'homme qu'il aimait le plus au monde n'a laissé qu'un veux carnet au cuir râpé, avec une centaine de feuilles vierges. Cent pages blanches en héritage. Mais voilà, il ignore encore que ce carnet détient un pouvoir mystérieux, celui de projeter dans le passé pour faire revivre les souvenirs.
100 pages blanches est un roman qui ne déroge pas au style de Cyril Massarotto.
Trois adultes, frères et sœurs, héritent de leur grand-père. Les jumelles se partagent le compte en banque et les propriétés immobilières, le frère récupèrent un carnet avec cent pages, vierges de toutes inscriptions. Il est vrai que le grand-père perdait un peu la temps ces derniers temps, mais de là à se moquer du garçon qu'il a élevé comme son propre fils.
Rapidement, le carnet se révèle être un héritage plus grand et plus précieux que quelques centaines de milliers d'euros. Et lui seul peut accéder à son pouvoir. Celui de ressusciter les souvenirs enfouis dans la mémoire pour les revivre une dernière fois.
Le roman entre immédiatement dans l'histoire, les présentations se font avec les personnages et l'héritage arrive avec son lot de déceptions et de découvertes. L'histoire fait place à la magie de la nostalgie, celle que vous avez peut-être quand vous feuilletez de vieux albums de photos ou quand vous ouvrez une vieille boîte de chaussures où sont enfouis des objets qui vous font revivre votre madeleine de Proust.
Les personnages sont intéressants et les deux amis sont attachants, et d'autres sont irritants. Bien décrits, on s'en fait une image très proche de celle que l'auteur avait.
L'écriture est facile et très fluide. Le roman est court et en un rien de temps il se dévore.
L'histoire est belle, avec des rebondissements crédibles, cohérents, malgré l'aspect fantastique du carnet.
Le roman possède une morale, que peut-être vous vous appliquez consciemment ou inconsciemment, mais pour les autres qui se refusent à vivre vers l'avenir, les souvenirs ne se remémorent que s'ils sont vécus. Mon passage préféré dans ce roman est assez court, mais je l'ai trouvé intense ; c'est lorsque Mick et Louise offre la montre.
En somme, Cyril Massarotto nous offre un magnifique roman comme il sait si bien les écrire, bourré d'émotions, de rires, de larmes, et aussi de candeur, de naïveté, et beaucoup d'amour.
Bonjour,un livre sympathique,qui grâce à des chapitres très courts se lit vite.
L'idée du carnet est original mais malheureusement l'auteur ne va pas au bout de son idée et j'ai l'impression que la fin est bâclée.
J'ai parfois eût l'impression d'être devant un téléfilm de l'après-midi.
Bref,un roman de gare parfait pour se distraire.
Un jeune homme reçoit pour tout héritage de son grand-père un carnet de 100 pages blanches.
Est-il lésé par rapport à ses sœurs ? Pas vraiment.
La couverture, souvent vue sur le site, m’attirait depuis un moment sans deviner de quoi ça allait parler. L’idée est originale, mais il manque de la profondeur à ce roman. Comme s’il avait été écrit d’un premier jet et pas retravaillé. De plus le style est assez quelconque et certains dialogues sont un peu convenus voire mélos.
Ҫa n’en reste pas moins un moment de lecture agréable, mais bien loin de la force de « La petite fille qui aimait la lumière », d'où une légère déception.
Deuxième livre de cet auteur que je lis, et j'aime beaucoup son écriture. J'ai été très touché par cette histoire finalement toute simple, et par l'importance des souvenirs dans la vie, de comment vivre son passé et construire son avenir. Des choix que l'on peut faire. Je l'ai dévoré, charmé encore une fois. C'était très doux et l'histoire n'est finalement pas banale et pourtant très jolie. Et puis moi, dès que l'écriture coule comme ça, je suis à fond. J'aime les rencontres qui changent tout, les personnages qui évoluent, et les trucs mignons. En plus la fin m'a beaucoup plu. Bref, un très beau livre, qui se dévore.
Comme pour le premier roman de Cyril Massarotto "Dieu est un pote à moi", je n'ai pas pu lâcher ce livre une fois que je l'ai commencé. C'est original, rafraîchissant et l'écriture est très fluide. J'aime vraiment beaucoup cet auteur et je lirai tous ses autres romans.
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