Deuxième livre de cet auteur que je termine et cette fois c'est une grosse déception ! Je ne retiendrai rien de cette lecture ... aucun intérêt sinon nous divertir un peu ^^ ce qui n'est déjà pas mal ... je vous l'accorde ! Mais je m'attendais à retomber dans cette ambiance anxiogène que j'ai ressenti à la lecture de nécrologie ... Un braquage de banque qui tourne mal. Edward perd sa femme et la voix du monstre à l'intérieur de lui se réveille ... L'écoutera t'il ? je vous laisse le découvrir mais il est temps pour moi de passer à autre chose !
Durant le mois de juin, j’ai lu ce livre pour notre lecture du mois du #darkbookclub à nouveau un auteur que je découvre, après en avoir beaucoup entendu parlé, c’était l’occasion de me lancer. Et spoiler alert, je n’ai pas été déçu ! J’ai même beaucoup aimé.
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Lorsque sa femme est assassinée alors qu’ils sont à la banque, cela réveille un véritable monstre en Edward, une voix dans son esprit qui guide ses actes. J’ai vraiment été entraîné dans cette histoire où il n’y a pas de temps mort, il se passe toujours quelque chose, l’histoire se déroule sur environ une semaine et il y a tellement de rebondissements !
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Du rythme, du suspense, de l’émotion, des pistes, etc tous les ingrédients sont là pour un thriller réussi !
J'ai découvert Paul Cleave avec un employé modèle qui fut un vrai coup de cœur et quand je me suis offert mes livres de noël avec un bon cadeau (merci mes employeurs qui ne voulant pas prendre de risque, on choisit cette option) ; j'ai recherché un Paul Cleave, la dame me dit qu'il y a en a deux en stock un gros et un poche, je prends le poche ! Ravie de relire un Paul Cleave, je lis avec mes deux yeux (non greffés) cette histoire ! Certes, je n'ai pas été déçu l'histoire était sympa (malgré son manque d'originalité) on passe le cote fantastique greffe des yeux qui n'existe pas encore et la mémoire moléculaire et un peu comme les esprits, on y croit ou pas !
Malheureusement ce que j'avais apprécié dans l'employé modèle : le cynisme, l'humour, le cote grinçant et mordant de l'auteur ne sont pas présents dans ce livre.
Est ce parce que celui-ci etait destine à la base aux lecteurs jeunes adultes ou est ce que Paul Cleave lui aussi aurait une mémoire moléculaire qui le ferait écrire dans un autre style ;p
Zach, sept ans, est un enfant attachant mais difficile à vivre. Au terme d’une journée passée avec son père, Cameron Murdoch, célèbre auteur de thriller qui écrit à quatre mains avec son épouse Lisa, le jeune garçon dispararait mystérieusement, en ayant menacé de fuguer. Les parents ne se rendent compte de la disparition que le lendemain matin. Bouleversés, ils préviennent la police, celle-ci découvre une empreinte de pas d’adulte devant la fenêtre de la chambre du garçon. S’agit-il d’un enlèvement, d’une fugue ou doivent-ils soupçonner comme dans la majorité des cas, les parents d’être à l’origine de la disparition? Selon certains, le couple d’écrivains a toutes les cartes en main pour faire croire au crime parfait : n’est-ce pas ce qu’ils inventent depuis des années au travers de leurs romans?
Par un concours de circonstance les apparences jouent rapidement contre Cameron : il est suspecté de maltraitance envers son fils et d’autres enfants croisés la veille dans un parc de jeux. Il n’en faut pas plus pour que la presse s’en mêle et que se déchaine la liesse populaire. Il est facile pour le citoyen lambda de mélanger fiction et réalité en reprenant au premier degré les déclarations d’un couple d’écrivain se vantant d’inventer le crime parfait pour ses lecteurs. Les chapitres consacrés à Cameron Murdoch sont à la première personne, histoire de bien saisir la profondeur de ses sentiments et aussi d’avoir le doute parfois : est-il possible que derrière l’écrivain se cache un psychopathe capable de commettre le pire sur son propre fils? Excellent sujet diablement mené !
Suspense permanent, rebondissements inattendus dont je ne révélerais rien car j’ai passé un excellent moment de lecture avec ce thriller néo-zélandais d’un auteur que je ne connaissais pas et que je relirai volontiers. Noël sous la canicule est assez dépaysant même au travers d’un roman ! Beaucoup de chose m’ont frappé dans ce récit, de façon plus ou moins réaliste. Le déferlement de haine de la population à l’encontre d’un couple de citoyens (presque) anonymes dont la vie bascule du jour au lendemain, a de quoi inquiéter et reflète parfaitement ce qui se passe sur les réseaux sociaux (pour exemple un fait divers qui se passe en France actuellement : une mère qui recherche désespérément sa fille adolescente et qui se fait insulter sur les réseaux sociaux par des gens qui ignorent tout d’elle..). La critique est donc acerbe mais réaliste de la société actuelle.
Si j’ai apprécié ce roman, notamment la première partie que je ne pouvais lâcher, j’ai trouvé le dénouement plutôt tiré par les cheveux, mais bon cela reste une fiction, et un thriller savamment mené ! Je remercie les Editions Sonatine, via Netgalley pour leur confiance.
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