"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
À la suite d'une catastrophe mondiale les pays les plus développés sont envahis par des hordes de zombies cannibales. Seules quelques enclaves subsistent, en Somalie notamment. À la recherche d'un remède au virus, un groupe d'adolescentes surarmées, menées par un vétéran, se rend à New York. Tous se croient préparés au pire. Mais dans l'île de Manhattan en ruine, ils vont bientôt découvrir que la non-mort est loin d'être le destin le plus terrifiant.
chronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2014/10/chronique-zombie-island-tome-1-david.html
Et bien, j'ai tout simplement abandonné la lecture de ce livre !
Le rythme du livre est très lent, l'auteur nous fait part de descriptions que je juge un peu inutiles.
Je me suis ennuyée tout au long des environ 180 pages que j'ai pu lire de ce bouquin...
Les personnages manquent de charisme, de personnalité, de caractère, bref, on ne saurait pas dire qu'il s'agit de personnages différents s'ils n'étaient pas mentionnés par leur prénom. Je n'ai pas réussi à m'attacher à au moins un seul des personnages malgré l'atmosphère apocalyptique et la détresse à laquelle ils sont confrontés. Je n'ai même pas eu envie de savoir ce qui allait se passer après, d'autant qu'on a l'impression que justement il ne va rien se passer à cause du rythme...
L'idée était pourtant bonne, dans la même lignée que War World Z mais l'auteur n'a pas, à mon sens, exploité de la meilleure manière le sujet.
En bref, une grosse déception, et je ne sais pas si je reprendrai, un jour, cette lecture et si je poursuivrai cette trilogie...
Une épidémie s'est répandue à l'échelle planétaire. Les morts se relèvent et sont affamés. Delkab, un agent des Nations Unies, se trouve en Somalie avec sa fille. Un groupe armé composé de jeunes femmes les enlèvent et en échange de la libération de sa fille, Delkab doit trouver des antiviraux pour la chef du groupe. Il se retrouve alors en bateau accompagné d'un groupe de guerrières à peine plus âgées que sa fille, en route pour New-York.
Ce roman est un récit alliant fantastique et horreur. Les gens meurent et suite à un virus contracté, ils deviennent des morts-vivants, des zombies. Dans ce roman, l'auteur traite des limites que l'homme peut atteindre pour se sauver ou sauver un être cher. Les adolescentes qui se battent au côté de Delkab sont là pour lui faire prendre conscience qu'au-delà de notre propre personne, nous pouvons nous battre pour des idées, des concepts qui nous dépassent, ou pour l'amour d'une autre personne.
Il est décevant de ne pas avoir de vraies scènes de violence dans un roman traitant de zombies, mais le principal atout réside surtout dans l'écriture qui est très fluide. L'histoire est assez pauvre. Des chapitres entiers sont utilisés pour une courte scène, parfois insignifiante. Mais il y a une question qui reste en suspend. Comment cette épidémie est-elle née ?
En somme, un roman loin des clichés choquants et violents, qui se lit facilement, mais sans grand intérêt au niveau de la trame.
a conseiller aux amateurs de morts vivants
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !