"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" Dans cette bande dessinée, deux récits se croisent, où se mêlent faits réels et fantastique.
Le point de rencontre entre les deux histoires se situe autour du tableau du peintre breton Yan'Dargent: «Les lavandières de la nuit», présenté au salon de 1861.
La première partie du récit, cinquante-deux pages de Nina Luec, puise dans les superstitions et la culture populaire du Finistère Nord au XIXe siècle. Yan'Dargent et François Luzel, deux jeunes garçons de Saint-Servais, bravent les terreurs de la nuit pour partir à la recherche de mystérieuses lavandières dont ils ont entendu parler lors d'une veillée. La narration, focalisée sur l'enfance de Yan'Dargent, souligne l'impact que ses visions surnaturelles ont eu dans sa jeunesse sur ses oeuvres, à la croisée du romantisme noir et du folklore breton.
Mandragore, dans la seconde partie, réalise une enquête d'une dizaine de pages autour de la mort du peintre. Cette approche anthropologique nous narre le rite de décollation, pratiqué à sa demande sur le corps de Yan'Dargent post-mortem. Le scandale qui en découlera éclaboussera injustement la réputation du peintre, boudé par ses contemporains."
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