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Quinze ans après Soixante-trois regards (édité en 2008), cette marche-fuite dans Berlin, le corps penché en avant, Une marche à soi transforme la mégalopole en monde sensoriel, et fait de la marche une réappropriation de soi. « Cette marche te constitue. Tu retrouves une forme, une forme qui serait la tienne : la forme de ton corps et celle de ta pensée, indissociables. Ton esprit est en marche. Tu éprouves à nouveau la force première des images. »
Une marche à soi est le temps densément vécu d'une traversée, de Berlin à Athènes en passant par Paris ou Rome, d'une ville aux corps multiples, aux contours pluriels, une cité sensorielle, saturée de vies et de bruits. Comment se réapproprier, en tant qu'être humain, son temps propre comme son propre corps ? Comment interrompre la course du temps productif, imposée au monde naturel par l'homme, qui se fait en même temps immobilisme et inexistence ? Une marche à soi, peut-être est-ce là l'ultime solution pour retrouver la force première des images et des sensations.
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