"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le monde va à sa fin. Il est isolé et renfermé. Dans les rues, la foule a disparu et le printemps jaillit. Le bruit et le silence sont tous les deux exilés. La liberté est égarée. La sécurité est plus qu'une nécessité. La prison et la maison sont fondées et fondues. Le temps est suspendu. L'attente est prolongée. La solitude, quant à elle, s'est transformée.
Le confinement n'est qu'un commencement et l'espoir remonte à la surface en intensité jusqu'à l'avidité. Chacun cherche un remède.
Chacun a un secret à cacher ou à dévoiler. Le souvenir inspire l'art et l'art devient lui-même un souvenir. Les petits bonheurs retiennent toute l'attention et comblent cette absence de l'autre. Une présence invisible peut aussi être lucide.
Ce temps est à prendre quand il est à perdre. La lumière est à gagner quand l'obscurité est un petit pas vers la liberté. Tout ira bien quand on tente une deuxième chance, même en étant raté. L'empire de la vie triomphe par l'art et la poésie contre la morosité.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !