"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le capitalisme financier a précipité le monde dans la crise. Les marchés, toujours indomptés, multiplient les déflagrations économiques. Le néolibéralisme paralyse la marche du progrès social. Les pays émergents contestent la suprématie occidentale. Un vent de démocratie souffle sur les pays arabes, et pendant ce temps, en Europe et en France, tout continue comme avant. En dépit de l'impact destructeur de la crise sur nos vies, en dépit des responsabilités des marchés financiers, les élites intellectuelles, politiques, médiatiques et économiques justifient que la facture soit payée par les peuples.
Il faudrait sacrifier ce qui subsiste de nos services publics et de nos solidarités.
Le discours sur les « contraintes imposées par la mondialisation » sature le débat politique, finissant par convaincre nos concitoyens que le seul choix est d'indiquer dans quel ordre ils acceptent d'abandonner leurs droits.
Pourtant le message des peuples est limpide : ces faux choix ne sont pas seulement injustes, ils sont inacceptables. Persévérer dans cette voie alimente nourrit un rejet profond de la démocratie et la tentation d'un vote massif en faveur de l'extrême droite. Pour éviter que la politique soit exclusivement la fille de la peur, la gauche doit redonner un sens et un contenu au progrès. Ce livre propose des objectifs et une stratégie pour desserrer l'étau et reprendre la marche du progrès.
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