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La présence de la mère est prépondérante dans la tragédie racinienne. Serait-ce un hasard ou une recherche subliminale de la nature de la mère ? Les études de C.G. Jung montrent l'importance de la perception de la mère aux yeux de l'enfant, les unes étant des « mères aimantes », les autres des « mères terribles ». De "La Thébaïde" jusqu'à "Bérénice" la « mère terrible » semble avoir pris le dessus, mais à divers degrés. "Bajazet" échappe de justesse à la problématique, mais dès "Mithridate" la « mère aimante » se manifeste, soit par sa bienveillance, soit par son amour indélébile, soit par une réhabilitation morale inattendue. C'est ce parcours psychologique, propre à Racine, que le présent ouvrage cherche à élucider.
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