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The Magic Hour inaugure une série de traductions à paraître chez Capricci dans le but de faire connaître la vitalité de la critique américaine au public français.
Spécialiste de l'histoire culturelle et politique américaine, Jim Hoberman a fêté en 2008 ses trente ans au sein de l'hebdomadaire new-yorkais The Village Voice. A cette occasion, une rétrospective de films a été organisée par la BAMCinémathèque. C'est dire l'importance du travail de ce critique, auteur d'une dizaine d'ouvrages salués par la presse et par des personnalités de l'importance de David Cronenberg ou Mike Davis.
Première traduction française de J. Hoberman, The Magic Hour, Une fin de siècle au cinéma, réunit une quinzaine d'essais recueillis pour la plupart dans le livre du même nom, publié aux Etats-Unis en 2003. Certains de ces essais portent sur des films (La Guerre des Etoiles de G. Lucas, La Liste de Schindler de S. Spielberg, Underground d'E. Kusturica?), d'autres sur des personnalités (A. Schwarzenegger) ou des genres (le western, le film-catastrophe).
Comment le cinéma peut-il dire une époque, un changement d'époque, une fin de siècle ? L'approche de Jim Hoberman surprendra le lecteur français. Sa méthode, à la fois historique et esthétique, consiste à lire dans les films des révélateurs d'Histoire, et dans l'Histoire elle-même un film, un numéro du grand spectacle américain. Désenchantée et rageuse, érudite et populaire, l'écriture unique du critique fait de chaque texte une exploration des soubresauts d'un pays et de The Magic Hour, selon D. Cronenberg, « un page-turner plein de suspense ».
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