L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La collaboration entre Françoise Pétrovitch et la Maison Salvan s'est traduite par une résidence au cours de l'été 2014 et par une exposition au titre emprunté à Jean Tardieu : Étant donné un mur. Elle eut lieu du 15 novembre au 20 décembre 2014 et intégrait le festival Graphéine organisé par Pinkpong - réseau art contemporain de l'agglomération toulousaine. Elle fut jalonnée de divers rendez-vous, dont une performance de la danseuse Lise Romagny et un concert de ARLT avec Thomas Bonvalet qui se déployait dans l'ensemble de l'espace d'exposition.
Alors que le livre Solution de continuité aborde une temporalité étendue, les deux textes qu'il comporte se centrent précise ment sur l'exposition. Le second, Voyage Pétrovitch :
La fillette et les fantômes, a été commandé à Marion Richez.
Il s'agissait de faire appel à une auteure, de confier le travail de Françoise Pétrovitch et d'inviter à une réaction singulière : un regard sur la création purement litte raire.
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