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« Savoureux instants », c'est le titre qu'a choisi Chantal Nimier pour son troisième recueil : 52 courts poèmes en vers libres, illustrés par elle à la plume, écrits entre le 1er septembre 2007 et le 5 juin 2009, un travail de gestation de deux ans pour un avènement plus aisé que lors de ses précédents recueils. Elle souhaite cette fois, de son propre aveux, donner d'elle « une image plus souriante et même heureuse » qui puisse s'adresser sans les troubler à de jeunes lecteurs, comme ses neveux et nièces et ce passage à un nouvel esprit s'inscrit dans une nouvelle forme poétique libérée de la contrainte de l'alexandrin. Vingt ans ou presque se sont écoulés depuis que Chantal Nimier s'est engagée sur le chemin des muses sous la conduite de ce bon guide, nouveau Virgile, que fut pour elle le poète rémois Gilbert Forêt, disparu le 25 janvier 2005 à l'âge de quatre-vingts ans. C'est lui qui veilla sur son premier recueil, « Fragments d'amour », 51 poèmes écrits entre 1991 et 1998, et c'est à sa mémoire qu'elle dédia son second ouvrage « J'entre dans le matin », publié en novembre 2007, 57 poèmes accompagnés d'aquarelles. Ce dernier écrit des « Savoureux instants » propose donc au lecteur des poèmes à la veine plus légère, car, même si l'auteur nous confie qu'elle se sent encore parfois seule et inquiète, la solitude peut maintenant lui être « suave » : « .tout au fond sous l'édredon j'écoute chanter le vent fripon : suave solitude ! »
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