L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le premier recueil La Passagère, histoire inachevée mais prenant le large à côté d'un parent éloigné Sous la dentelle noire, telle une mère généreuse et attentive, porte dans ses bras ce troisième ouvrage Sans titre, dans ce climat si singulier d'une longue lignée poétique. Ce nouveau-né, fille du premier, continue sa route de soie sur le lin et les vers, chemin qui a tant enthousiasmé sa si douce mère. Ainsi, les poèmes de ce recueil s'inscrivent pleinement dans le cantique familial, toujours en constante harmonie avec l'émotion de la toile, toile transportant le coeur et l'âme d'autrui dans un voyage joyeux ou triste... L'auteur de ces lignes, Eric Mériau, qui ne se lasse jamais d'écrire, poursuit sa course entreprise maintenant depuis un peu plus de deux années, sur les océans des mots à la lueur de ce qui le mobilise tant, sans jamais s'accoutumer ni au temps, ni au lieu, ni à la rencontre des êtres, encore moins à la puissance des lignes ou des pages mises en musique sur la si étonnante partition de la vie. Désormais, l'écriture tient une place prépondérante dans son existence et, il constate chaque jour, chaque soir, l'exigeante urgence, parfois triste, souvent joyeuse, jamais désespérante, à écrire.
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