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Le Baiser, symbole de l'amour éternel, jouit depuis sa création d'un succès qui ne s'est jamais démenti et qui va bien au-delà des murs du musée Rodin. Conçue pour la Porte de l'Enfer, inspirée par La Divine Comédie de Dante, l'oeuvre s'est d'abord appelée «Françoise de Rimini» en hommage aux amours contrariées de Paolo et Francesca racontées par le poète italien. C'est un critique qui, devant cet «adorable groupe d'amoureux, nus comme vers», proposa, en 1887, le titre beaucoup plus suggestif du Baiser. Grâce à la correspondance échangée avec ses praticiens, aux photos de son atelier, aux dessins à la plume, aux esquisses en terre qui précèdent les versions en plâtre, en marbre et en bronze, on revit aux côtés de Rodin la genèse de la sculpture. Toutes les étapes qui mènent du bloc de marbre à la forme humaine, à «l'instant même du Baiser et cela avec à la fois tant de pureté et une telle recherche d'art et d'humanité».
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